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23 novembre 2018 5 23 /11 /novembre /2018 11:27

A la veille de la Journée de la Laïcité en France, l'association France-Israël du Cher, déplaçant le regard à 5 heures d'avion de Paris, vous invite à débattre de la place des religions et de l'Etat en Israël.

LES RELIGIONS ET L'ETAT EN ISRAEL

conférence-débat animée par

M. David FELDMANN

président de l'Association France-Israël du Cher

 

le mercredi 05 décembre 2018

à 18 h 00

Salle Alain-Fournier

Maison des Associations

28 rue Gambon

18000 BOURGES

(Entrée Libre)

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5 juillet 2018 4 05 /07 /juillet /2018 22:39

Un passeur de mémoire nous a quitté. Claude LANZMANN est décédé. Avec lui, nous perdons un grand documentariste. Il laisse à la postérité une oeuvre qui se veut un outil de mémoire pour donner à nos contemporains les clefs du monde d'aujourd'hui pour demain.

 

Evoquer Claude LANZMANN rappelle à la mémoire collective son oeuvre phare : SHOAH. Par son titre seul, ce documentaire bouscule, lors de sa sortie, la compréhension de l'assassinat des Juifs d'Europe et du bassin méditerranéen durant la Seconde Guerre Mondiale. Il s'oppose alors au terme retenu dans le monde anglo-saxon pour désigner ce crime de masse : holocauste. L'holocauste se rapporte en effet à un sacrifice. Relevant du lexique religieux, il évoque un martyr exemplaire et sacrificiel n'ayant pour d'autre fin que d'attirer à son auteur la présence divine et ses bienfaits. LANZMANN lui oppose le terme hébreu de Shoah, signifiant "destruction". Car c'est bien d'une oeuvre de destruction dont il s'agit, tant la volonté des bourreaux fut d'effacer dans sa chair même l'identité de tout un peuple.

 

Pour la première fois, Shoah traitait de la destruction de 6 millions d'individus, assassinés pour la seule raison d'exister. Consciemment ou non, LANZMANN entraînait le public dans les couloirs de "la banalité du mal", donnant à entendre le témoignage des victimes ayant survécu, ainsi que celui des exécuteurs, les bourreaux volontaires d'Hitler. A ceux-ci s'ajoutaient le témoignage des populations, voisines du crimes, révélant qu'elles n'ignoraient rien de ce qui se tramait là.

 

LANZMANN avait su redonner des noms, des corps, une dignité aux victimes perdues dans l'anonymat des chiffres, des numéros et des charniers. A la froideur du témoignage, répond l'horreur de ce qui se joua à l'échelle d'un continent et au-delà. Il a transmis une mémoire pour ranimer les consciences.

 

Mais Claude LANZMANN peut-il être réduit à SHOAH ? Certainement pas répondrait ses proches et ses familiers. Pour nous, spectateurs de ces documents, il est également l'auteur de films apportant des éclairages singuliers sur ce qui nous réunit au sein de l'Association France-Israël.

 

En effet, il a su montrer la complexité de la société israélienne, tiraillée entre la volonté de créer une société nouvelle, pour le peuple juif sur sa terre historique, et les aspirations contradictoires de ses composantes. Moyen de mesurer l'espace séparant l'idéal de sa réalisation et de redonner son humanité à cette utopie démocratique en posant la question : Pourquoi Israël.

 

Il aura également livré un documentaire consacré à TSAHAL, la force de défense d'Israël. Il donna la parole à ceux qui faisaient la particularité de cette armée nationale, armée de conscription, où la volonté de servir des citoyens pour défendre le pays n'éteint aucune considération morale à l'heure où se mettait en place le processus d'Oslo.

 

Claude LANZMANN n'était pas un faiseur d'opinions. Il était un témoin et un passeur de mémoire.

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29 janvier 2018 1 29 /01 /janvier /2018 21:53
De Judas à Shylock, l'argent est un thème récurrent de l'antijudaïsme. L'usure, l'avarice et la cupidité lui sont associées. Intégré à l'antisémitisme, le thème de l'argent a donné naissance au mythe politique des "gros" contre les "petits" se retrouvant aussi bien à l'extrême-droite qu'à l'extrême-gauche de l'échiquier politique. Il imprègne, aujourd'hui, les théories du complot.
 
Les métiers d'argent furent longtemps imposés aux Juifs, dans les sociétés chrétiennes et musulmanes, lesquelles considéraient l'argent comme une chose vile. Ainsi, les Juifs se virent reprocher une fonction qui, pourtant, leur avait été assignée.
 
L'Association France-Israël du Cher lance un pavé dans la mare des préjugés, en accueillant M. Georges FELDMANN, professeur de Lettres (e.r.), Chevalier des Palmes Académiques, Président de l'Association Les Amis d'Israël - Association France-Israël de l'Indre, pour une conférence intitulée :
Les Juifs et l'argent, l'envers d'un mythe
le mardi 20 février 2018
à 18h30
salle Jean Lescuyer
Maison des Associations
28 rue Gambon
18000 BOURGES
(entrée libre).
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30 septembre 2017 6 30 /09 /septembre /2017 19:41

Le Mémorial de la Shoah de PARIS, prolonge son exposition consacrée à la représentation de la Shoah dans la bande dessinée. Le visiteur y découvrira que le sujet fut traité dès le lendemain de la Seconde Guerre Mondiale.

 

Au-delà se trouve posée une manière de représenter les génocides. A voir jusqu'au 07 janvier 2018.

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18 septembre 2017 1 18 /09 /septembre /2017 18:12

Le dimanche 10 septembre, lors de la fête des associations de la ville de Bourges, l'Association France-Israël du Cher a présenté une exposition consacrée à Jérusalem, à l'occasion du cinquantième anniversaire de la réunification de la ville trois fois millénaire.

 

Jérusalem a trois mille ans. Elle est pour les trois monothéismes un centre de spiritualité. Les Hébreux y placèrent l'arche sainte dans le Temple édifié par le Roi Salomon. Les Juifs continuent de se recueillirent auprès du Kotel, improprement surnommé "Mur des Lamentations". Pour les Chrétiens, Jérusalem est le lieu de la parousie de Jésus. Sur l'esplanade du Temple d'Hérode, au sommet du Mont Moriah, les musulmans édifièrent le dôme du Rocher et la mosquée Al Aqsa.

 

Le plan de partage onusien du 29 novembre 1947, fixant les limites territoriales entre la Palestine juive et la Palestine Arabe, plaça Jérusalem sous un statut à part, faisant de cette ville un "corps séparé" (selon la formule latine employée alors de corpus separatum). Une commission de tutelle, placée sous l'égide des nations unies, et comprenant des représentants des différentes composantes de la cité devait administrer la destinée de la ville. A l'issue d'une période transitoire de 10 ans, les habitants auraient dû être consultés par voie de référendum pour décider du sort de la ville, maintien du statut international ou autre. ce gouvernement international ne vit jamais le jour en raison de la guerre déclenchée par les nations arabes contre l'Etat d'Israël, créé le 14 mai 1948.

 

La ligne de cessez-le-feu passait au cœur de la vieille ville de Jérusalem. Les Jordaniens occupèrent durant 18 ans la partie de la ville renfermant une large part des lieux saints, dont le Kotel. Pendant cette période aucun Juif ni aucun israélien ne put se recueillir sur les lieux saints. En 1967, Nasser et ses alliés menacèrent l'Etat d'Israël. Bien décidé à ne pas connaître une seconde destruction, 20 ans à peine après la Shoah, Israël lança sa guerre défensive devant durer 6 jours. A l'issue de ce conflit, l'agglomération hiérosolomytaine fut réunifiée. Tous les lieux saints devinrent accessibles à l'ensemble des pèlerins de toutes les confessions.

 

Si Jérusalem, capitale de l'Etat d'Israël, est la ville où l'on prie, elle est aussi une ville résolument moderne. Il est désormais possible de traverser la ville du nord au sud, à bord d'un tramway ultramoderne de conception française. Un autre moyen de découvrir la ville est, depuis 2011, le Marathon International de Jérusalem. La prochaine édition de cette épreuve sportive se déroulera le 09 mars 2018.

 

Alors, l'An prochain Jérusalem ?

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30 avril 2017 7 30 /04 /avril /2017 20:27

Dans la ferme de Guerry, sur la commune de Savigny-En-Septaine, 300 personnes se sont rassemblées pour commémorer la tragédie qui s'y déroula entre le 24 juillet et le 8 août 1944. Ci-dessous l'allocution du Comité du Souvenir de la Tragédie des puits de Guerry :

Pour Tzvetan Todorov, La tragédie des puits de Guerry est une « Tragédie française ». Elle trouve son origine dans la prise de la ville de Saint-Amand-Montrond, le 6 juin 1944, et l’arrestation de Simone Bout de l’An, l’épouse du Secrétaire Général adjoint de la Milice, par la Compagnie Surcouf, composée d’éléments de la Résistance intérieure. Ces évènements provoquent en effet l’intervention de la Brigade allemande Jesser et celle de la Milice. Après le départ de la Compagnie Surcouf, la population est soumise à la répression des allemands et de leurs complices français.

Arrivé à Saint-Amand dès le 8 juin 1944, Joseph LECUSSAN, antisémite pathologique et alcoolique notoire, mène les opérations. Chef régional de la Milice à Lyon, il est l’assassin de Victor BASCH, président de la Ligue des Droits de l’Homme. Après l’exécution de Philippe Henriot, le 28 juin 1944, à Paris, LECUSSAN, qui s’est autoproclamé GAULEITER pour la zone sud du Cher, s’acharne contre la population juive de Saint-Amand-Montrond.

Le 29 juin 1944, la Milice arrête 4 membres de la famille JUDA à BESSAIS LE FROMENTAL. Le 17 juillet, les prisonniers sont transférés à la Prison du BORDIOT à BOURGES, laquelle relève des autorités allemandes d’occupation. LECUSSAN s’entretient avec le responsable du S.D. de BOURGES, le S.S. HASSE, afin de lui faire part de son projet de lui livrer tous les Juifs de Saint-Amand-Montrond. Fritz MERDSCHE, commandant régional du S.D. à ORLEANS, autorise HASSE à procéder à l’arrestation envisagée.

Le soir du 21 juillet 1944, deux camions transportant des soldats de la Wehrmacht, encadrés par des éléments du S.D. et appuyés par une quinzaine de miliciens, arrivent à Saint-Amand. La rafle commence à 22h50 pour ne s’achever qu’à 4h00 du matin, au milieu des violences, des insultes et des pillages. 70 personnes sont appréhendées et regroupées dans les locaux du cinéma REX. Le plus jeune a 3 ans et demi, le plus âgé 85 ans. Les prisonniers sont aussitôt transférés à BOURGES.

Devant l’impossibilité d’organiser la déportation des Juifs de Saint-Amand, MERDSCHE ordonne à HASSE de procéder sur place à la liquidation des prisonniers. Cette sordide mission est confiée à Pierre PAOLI, agent français au service du S.D. de BOURGES, natif d’Aubigny sur Nere.

Le 24 juillet 1944, PAOLI accompagné de 5 allemands et d’un milicien, extrait les 26 hommes retenus au BORDIOT de BOURGES. Ils arrivent sur le site de la ferme de Guerry, sur la commune de Savigny en Septaine, au milieu du POLYGONE. Les prisonniers, par groupes de six, sont emmenés au puits n°3 où la plupart des victimes sont jetées vivantes. Des moellons de plus de cinquante kilos sont jetés sur les corps. Attendant son tour, Charles Krameisen, malgré le bruit des moteurs, semble entendre tirer. Il retire ses chaussures et déclare à ses camarades « J’aime mieux être tué de dos que de face par les Allemands. » Dernier à descendre du camion, Charles Krameisen trompe la vigilance de ses gardiens et court vers les bois où il se réfugie au milieu des ronces et des fourrés. Il est recherché en vain pendant plusieurs heures. Il parvient à se cacher dans la grange de M. GUILLEMIN, sur la commune de Savigny en Septaine. M. GUILLEMIN le découvre, demi nu, en sang, les yeux hagards. Une fois remis de ses blessures, ne pouvant rester dans la ferme des Guillemin, Charles KRAMEISEN se cache de ferme en ferme jusqu’à se rapprocher de SAINT AMAND.

Le 26 juillet 1944, les frères JUDA et Mojzesz SEIDEN, arrêté pour faits de Résistance à la fin du mois de mai 1944, sont emmenés à Guerry. Ils sont assassinés dans le puits n°2.

Le 8 août, dix femmes quittent leur cellule. Deux d’entre elles invoquant leur appartenance à la religion catholique obtiennent la grâce de ne pas faire partie du convoi. Les huit autres femmes sont emmenées à leur tour à Guerry. Elles sont assassinées dans le puits n°2, probablement exécutées par balles.

Le 9 août le S.D. et la Milice évacuent BOURGES. Le 17 août 1944, les femmes et les enfants, soit 32 personnes, encore détenus sont libérés de la Prison du Bordiot. Quelques semaines plus tard, les survivants retrouvent, non sans surprise, Charles KRAMEISEN. Il fait part de son témoignage. S’il peut décrire certains détails du lieu de la tragédie, il n’est pas en mesure de le retrouver seul. La Gendarmerie de Bourges et le Comité Berrichon du Souvenir et de la Reconnaissance enquêtent avec le concours de Charles KRAMEISEN et de la Mairie de SAVIGNY EN SEPTAINE. Le 9 octobre 1944 , le puits n°1 est découvert contenant des sacs et des mallettes. Le 18 octobre 1944, les effets personnels des victimes sont remontées. Le 19 octobre et les jours suivants, les puits n°2 et n°3 sont retrouvés et examinés. On en sortira le corps des 36 victimes de la tragédie des Puits de Guerry.

Le crime de Guerry, malgré le procès de PAOLI, en 1946, et celui de la Gestapo de BOURGES, en 1950, ne permit pas d’éclaircir totalement le rôle joué par les différents protagonistes. Les commanditaires Allemands du massacre, HASSE et MERDSCHE, ne furent pas même inquiétés.

Ces faits relèvent de la Shoah. Classifiés secret du Reich, ils s’inscrivent dans le processus d’extermination systématique de la communauté juive d’Europe, tel qu’il avait été établi à WANNSEE, et connu sous le nom de « Solution Finale ». Les personnes arrêtées à Saint-Amand et ses environs étaient vouées à la déportation. Seule l’impossibilité d’organiser un convoi en Allemagne durant cet été 44, fit du Berry et de Guerry, en particulier, un lieu de la mémoire de la Shoah. La tragédie de Guerry n’est pas sans évoquer la première phase des persécutions juives à l’Est de l’Europe, mise en lumière par le Père DESBOIS et surnommée « Shoah par balles ». C’est pourquoi cette commémoration s’inscrit pleinement dans la journée du souvenir des déportés.

Guerry est un lieu de mémoire depuis 1945. Le 18 octobre 1994 fut inauguré le mémorial. Œuvre de Georges JEANCLOS, il représente deux colonnes évoquant les rouleaux de la Thora. Les chapiteaux qui les surmontent symbolisent, d’une part, la chute des corps dans les puits et, d’autre part, leur relèvement suggérant leur résurrection. Guerry est un lieu de Mémoire. Cette mémoire est celle de la SHOAH, celle des crimes de systèmes totalitaires fondés sur des principes racistes, antisémites et xénophobes. Il ne s’agit pas seulement d’honorer la mémoire des victimes. Ces faits sont pour nous une mise en garde pour le présent et l’avenir.

Il y a plus de 70 ans, les valeurs de la République, Liberté-Egalité-Fraternité, furent piétinées par l’occupant nazi mais aussi par ses complices français. Aujourd’hui encore, la tentation est grande de renouer avec nos errements passés. « Il est encore fécond, le ventre d’où a surgi la bête immonde ! » écrivait Bertholdt BRECHT. Renoncer à la raison pour gouverner, répondre par la rumeur et la haine de l’autre pour résoudre une crise sociale, économique et politique conduit toujours l’humanité au bord du gouffre.

L’antisémitisme n’est pas mort. Il s’expose sur nos réseaux sociaux. Il transpire dans la presse et dans les salles de music-hall. Hier comme aujourd’hui, la même haine poursuit ceux de nos concitoyens dont le seul tort est d’être né juifs. Illan Halimi, les enfants de l’Ecole Ozer Hathora, les clients de l’épicerie Hypercacher et tant d’autres faits divers moins médiatisés témoignent du regain terrifiant de l’antisémitisme depuis notre entrée dans le IIIème Millénaire. Dans cette surenchère de la haine, aux nostalgiques du nazisme et de Vichy, s’ajoutent désormais les promoteurs du Djihad International, une jeunesse acculturée et des militants prétendant libérer tous les hommes du monde aux dépens de certains d’entre eux. En France, l’antisémitisme a toujours été synonyme d’une République en danger.

A l’heure où la tentation totalitaire, fondée sur la haine de l’autre et l’invention d’ennemis, tant intérieurs qu’extérieurs, contamine les 5 continents, jusqu’à notre propre nation, le devoir de mémoire nous invite à rappeler aux hommes que chacun d’entre nous est le gardien de son frère.

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13 septembre 2016 2 13 /09 /septembre /2016 18:09
L'antisémitisme sur le divan (conférence - octobre 2016)

La prochaine conférence de l'Association France-Israël du Cher aura pour thème : L'Antisémitisme sur le divan, psychanalyse d'une haine raciale.

Jamais haine ne fut et, hélas, ne continue d'être plus tenace que l'antisémitisme comme l'avaient montré, naguère, les travaux du professeur Jules ISAAC dans sa célèbre Genèse de l'antisémitisme. Cette haine en effet existait déjà dans la lointaine égypte pharaonique et alimente toujours les fantasme de la conspiration.

Pour cerner les éléments de cette haine, nous nous proposons de passer l'antisémitisme sur le divan de la psychanalyse, en compagnie du Dr Pierre EVANNO, médecin, président de France-Israël Vannes.

L'antisémitisme sur le divan

Mardi 18 octobre 2016

à 19 heures 00

salle Alain Fournier

Maison des Associations de BOURGES

28 rue Gambon

18000 BOURGES

(Entrée libre)

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7 septembre 2016 3 07 /09 /septembre /2016 21:01

La prochaine édition de la fête des associations se tiendra le dimanche 11 septembre 2016 au parc des expositions de la ville de Bourges (Rives d'Auron).

L'association France-Israël du Cher vous retrouvera au Pavillon d'Auron (Hall C - stand L2) pour présenter Israël et nos activités.

Cette année, notre exposition évoquera la question de l'alimentation.

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18 juillet 2016 1 18 /07 /juillet /2016 15:01

Suite à l'attentat perpétré à Nice lors de notre fête nationale, les représentants d'Israël apportent leur soutien aux victimes et à leurs familles.

Le Président de l'Etat d'Israël, M. Reuven RIVLIN, a adressé une lettre de condoléances au Président François HOLLANDE : "C’est avec douleur et tristesse que je dois encore une fois écrire et exprimer mes plus sincères condoléances et celles de tous les Israéliens, suite à l’attaque terroriste horrible qui s’est déroulée à Nice. La Fête Nationale célèbre le début de la Révolution française, un événement crucial de l’histoire européenne et mondiale et la montée des valeurs modernes qu’aujourd’hui, nous chérissons tous : la liberté, l’égalité et la démocratie. La menace vile du terrorisme est un affront à ces valeurs, et ses auteurs assassinent et mutilent sans discernement dans la poursuite de leur idéologie barbare de haine. Israël est avec la France et le peuple israélien se tient aux côtés du peuple français, côte à côte face à ce mal terrible, comme devrait l’être l’ensemble du monde libre. Nous devons travailler unis pour atteindre les terroristes, leurs partisans et bailleurs de fonds, partout où ils peuvent se cacher. Nous ne renoncerons jamais. Comme vous l’avez dit, nous sommes plus forts que les fanatiques qui cherchent à nous nuire. S’il-vous-plaît transmettez nos plus sincères condoléances aux familles des personnes tuées, et sachez que nous prions pour le prompt rétablissement de tous les blessés ».

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19 mai 2016 4 19 /05 /mai /2016 21:47

La Seconde Guerre Mondiale n'épuisa pas ses effets par la capitulation du IIIème Reich, le 08 mai 1945. Il fallut attendre le retour des absents pour renouer les fils de destins interrompus. En effet, le conflit avait entraîné la détention de soldats dans les stalags allemands. Les civils ne furent pas non plus épargnés. Résistants, opposants politiques, Juifs et Tziganes connurent la déportation. En outre, le service du travail obligatoire éloigna nombre de civils de leurs foyers. Quelles furent les conditions de leur retour ?

LE RETOUR DES ABSENTS

prisonniers, internés et déportés

une conférence animée par

M. Jean-Claude BONNIN

Historien

Jeudi 02 juin 2016

à 19h30

Salle Alain Fournier

Maison des Associations

28 rue Gambon

18000 BOURGES

(Entrée libre)

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